J’interroge mon cœur
Je questionne ma tête
Ils m’avouent leur désaccord
L’un attribuant à l’autre tort.
Mon cœur croit qu’il le cherche
Qu’il le voudrait encore
Et que Lui idem le désire
Seulement, avec une grande réserve.
Ma tête dénonce, de mon cœur, les chimères
Elle prête plutôt foi à l’autre
Lui, si doux comme une brise du soir
Si constant comme le temps qui s’écoule.
Devant pas mal de paradoxes
De ma gorge fuse un « Assez »
Aux deux, j’ordonne le silence
C’est une sentence sans appel.
J’ai décidé de les ignorer
J’attendrai encore pour les juger,
Ils finiront par s’accorder
Ou je ne pourrai me décider.
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